Bonjour Ingrid quelle joie de vousrevoir ici, où je reviens parfois. J espère que nous pourrons papoter de temps en temps, je vous embrasse

bonjour Francette, je renais de mes cendres d'amours piétinées...amour de mère mis à mal, amour d'une mère mise à mal.. je me remets doucement des cris de démences, de délires d mon enfant, qu'importe son âge, ce sera toujours mon enfant, enfanté dans la douceur d'un amour infini, ; j'ai à nouveau enfanté ma fille dans la douleur de la voir souffrir et ne pas guérir...jamais guérir...mais elle revit un peu, sourit à nouveau, elle remonte des enfers, elle revient d'un pays où la peur panique est reine et la tord de douleur...elle revient d'un pays de cauchemar...laissons-la reprendre des couleurs...laissons la respirer, elle qui vient de si loin... de son pays où le noir est la couleur du désespoir...

Bonjour Luckycrevette Que de douleur dans vos lignes... je vous souhaite plein de choses , très sincèrement A bientôt Amicalement Melly

Bonjour, de ces gouffres insondables, de cette vie effrayante ces voyageurs reviennent après un long périple,et semblent l'oublier. Eton va 'évertuer à les garder sur le pont, tant qu'on peut. Profitez de ces moments, avec tout cet zmour de mère. Je vous embrasse, et elle aussi

un jour, l'eau tomba amoureuse d'un vent coquin qui virevoltait autour d'elle...elle lui dit : pourtant vent de mon amour, nous ne nous rejoindrons jamais, moi je suis l'eau et je dois continuer ma route, même si elle est sinueuse, mais je me dois d'arriver à l'océan, en changeant de nom souvent... toi, le vent tu es libre de t'amuser avec les nuages, tu es libre, tu es libre, moi je suis mon lit que je trace à travers forêts et plaines, déserts qui veulent me tuer de soif, un jour je rejoindrai les nuages, car j'ai la capacité de m'évaporer...alors, alors, vent, m'attendras-tu et me câlinera ?embrase moi, embrasse moi... mais tu deviens furie et je me mets en colère... que se passe-t-il ? le feu nous nargue et fait des ravages...autant que nous deux en rage...je viendrai mourir sur une plage en écume nacrée et toi, tu seras reparti à tes nombreuses amourettes...mais nous nous retrouverons, j'en suis sûre, aussi certaine que je fais mon lit tout au long de ma vie, tout au long de mon chemin...personne ne peut me tenir entre ses mains, mais je laisse une trace de larmes irisées...toi le vent tu sautilles de branches en branches, tu effeuilles les feuilles... mais nous nous retrouverons, nous nous retrouverons...l'espoir, ultime flamme à l'horizon de nos destins.. ce n'est hélas pas un conte... je l'ai inventé... bisous Francette..

Personne ne peut tenir une larme sur sont chemin simplement laisser couler sur le lit du fleuve cette larme transformer en feuille pour écrire nos mots.

j espère que vous allez bien Ingrid, j aimerais vous parler en vrai! Auriez vous un téléphone???Je vous embrasse

Bon dimanche à vous.

Bien le bonjour de Marseille, où il fait bon vivre et une pensée particulière pour vous. bibi.

Que votre journée soit belle. Bibi

Bonjour, merci de votre commentaire sur mon blog, bonne fin de semaine au frais. Bibi.

Un agréable wd pour vous aussi. bibi

un petit bibi du sud.

Je vous souhaite un bon dimanche et beaucoup de courage..je vous fait de gros bibi...

Un bonjour par ce temps frileux. bibi